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Assumer l’homosexualité féminine
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Assumer l’homosexualité féminine
Posté par Yahoo! Pour Elles, mer. 15 déc. 2010
Assumer l’homosexualité féminine
Rarissimes dans le paysage médiatique, les lesbiennes restent l’une des minorités sexuelles les plus invisibles à l’instar des homosexuels mâles.…
Jodie Foster (l’actrice aux deux Oscars, deux Golden Globe, trois British Academy Award), Nina Bouraoui (prix Renaudot en 2005 pour son livre Les mauvaises pensées), Portia de Rossi (l’inoubliable Nelle de la série Ally Mc Beal), ou encore Sarah Bettens (leader emblématique du groupe K’s Choice), toutes ces femmes sont séduisantes et talentueuses mais ont un autre point commun : toutes ont fait le choix d’assumer au grand jour leur homosexualité.
Rarissimes dans le paysage médiatique, les lesbiennes restent l’une des minorités sexuelles les plus invisibles à l’instar des homosexuels mâles.
Au cliché télévisuel récurent de « la folle » véhiculé dès les années 70 pour matérialiser le gay dans la pensée populaire (par le biais de comédies guignolesques comme La cage aux folles), on a opposé deux fantasmes : la lesbienne de film X, objet de désir à la sexualité ludique et débridée (qui n’est jamais contre l’idée d’un tiers masculin), et en opposition, la butch, masculine et caricaturée dans le film Gazon maudit sous des airs de camionneuse pas franchement séduisante.
On se souviendra de la très douteuse représentation de la championne Amélie Mauresmo dans les Guignols de l’Info sur Canal+, dont la marionnette ressemblait davantage à un Schwarzenegger à cheveux longs qu’à une jolie athlète.
Comment trouver sa place dans ces clichés populaires ?
Le plus difficile semble de préserver ses proches de la violence sociale qui résulte de ces images caricaturales : « La première réaction de ma mère a été de me demander si j’allais couper mes cheveux longs et m’habiller comme un garçon. C’est comme si d’un coup je devais endosser un rôle, parce que j’étais homosexuelle », nous confie Claire, 31 ans.
« Sandra et moi étions en couple depuis deux ans quand j’en ai parlé à mes parents, c’était important pour moi de leur montrer que je pouvais être homosexuelle et stable, penser à l’avenir, à avoir des enfants », raconte Emilie, 29 ans.
« Finalement, il s’agissait surtout de les aider à se débarrasser de tous les préjugés que la société renvoie sur les homosexuels, leur montrer que nous ne sommes pas différents des autres, nous ressentons les mêmes besoins, les mêmes envies. »
Alors comment en parler ?
« Il faut sentir que c’est le moment, et c’est quelque chose de personnel, de propre à chacun, explique Marina Patakis, psychologue. Chacun a son cheminement, qui le renvoie à des mécanismes propres : la peur de parler de son homosexualité résulte la plupart du temps d’une peur d’être rejetée, de décevoir, de ne pas être comprise. Il y a des conséquences positives, parfois d’autres négatives : l’important c’est d’être au clair avec soi, et que le besoin d’être aimée pour qui l’on est prévale sur le reste. »
Le plus souvent, on en parle dans la sphère amicale pour commencer : cela permet de trouver une assise stable et compréhensive, mais aussi du soutien. Ensuite, on se lance, mais pour ça pas de recette magique : chacun y va de sa technique.
Décalée comme Agnès : « Ma mère m’a demandé si j’avais un copain, j’ai répondu : « Oui, elle s’appelle Sarah ! » », frontale comme Virginie : « Papa, maman, il faut que je vous parle… »
L’essentiel est de rester à l’écoute des angoisses de ses proches, tout en faisant respecter sa sphère intime : le message à faire passer est qu’il s’agit de votre vie privée, et que le plus important est que vous soyez heureuse et en harmonie avec vos choix.
Gabriel Seyrig
Les filles à vos commentaires
lesbiennement
djédjé
Assumer l’homosexualité féminine
Rarissimes dans le paysage médiatique, les lesbiennes restent l’une des minorités sexuelles les plus invisibles à l’instar des homosexuels mâles.…
Jodie Foster (l’actrice aux deux Oscars, deux Golden Globe, trois British Academy Award), Nina Bouraoui (prix Renaudot en 2005 pour son livre Les mauvaises pensées), Portia de Rossi (l’inoubliable Nelle de la série Ally Mc Beal), ou encore Sarah Bettens (leader emblématique du groupe K’s Choice), toutes ces femmes sont séduisantes et talentueuses mais ont un autre point commun : toutes ont fait le choix d’assumer au grand jour leur homosexualité.
Rarissimes dans le paysage médiatique, les lesbiennes restent l’une des minorités sexuelles les plus invisibles à l’instar des homosexuels mâles.
Au cliché télévisuel récurent de « la folle » véhiculé dès les années 70 pour matérialiser le gay dans la pensée populaire (par le biais de comédies guignolesques comme La cage aux folles), on a opposé deux fantasmes : la lesbienne de film X, objet de désir à la sexualité ludique et débridée (qui n’est jamais contre l’idée d’un tiers masculin), et en opposition, la butch, masculine et caricaturée dans le film Gazon maudit sous des airs de camionneuse pas franchement séduisante.
On se souviendra de la très douteuse représentation de la championne Amélie Mauresmo dans les Guignols de l’Info sur Canal+, dont la marionnette ressemblait davantage à un Schwarzenegger à cheveux longs qu’à une jolie athlète.
Comment trouver sa place dans ces clichés populaires ?
Le plus difficile semble de préserver ses proches de la violence sociale qui résulte de ces images caricaturales : « La première réaction de ma mère a été de me demander si j’allais couper mes cheveux longs et m’habiller comme un garçon. C’est comme si d’un coup je devais endosser un rôle, parce que j’étais homosexuelle », nous confie Claire, 31 ans.
« Sandra et moi étions en couple depuis deux ans quand j’en ai parlé à mes parents, c’était important pour moi de leur montrer que je pouvais être homosexuelle et stable, penser à l’avenir, à avoir des enfants », raconte Emilie, 29 ans.
« Finalement, il s’agissait surtout de les aider à se débarrasser de tous les préjugés que la société renvoie sur les homosexuels, leur montrer que nous ne sommes pas différents des autres, nous ressentons les mêmes besoins, les mêmes envies. »
Alors comment en parler ?
« Il faut sentir que c’est le moment, et c’est quelque chose de personnel, de propre à chacun, explique Marina Patakis, psychologue. Chacun a son cheminement, qui le renvoie à des mécanismes propres : la peur de parler de son homosexualité résulte la plupart du temps d’une peur d’être rejetée, de décevoir, de ne pas être comprise. Il y a des conséquences positives, parfois d’autres négatives : l’important c’est d’être au clair avec soi, et que le besoin d’être aimée pour qui l’on est prévale sur le reste. »
Le plus souvent, on en parle dans la sphère amicale pour commencer : cela permet de trouver une assise stable et compréhensive, mais aussi du soutien. Ensuite, on se lance, mais pour ça pas de recette magique : chacun y va de sa technique.
Décalée comme Agnès : « Ma mère m’a demandé si j’avais un copain, j’ai répondu : « Oui, elle s’appelle Sarah ! » », frontale comme Virginie : « Papa, maman, il faut que je vous parle… »
L’essentiel est de rester à l’écoute des angoisses de ses proches, tout en faisant respecter sa sphère intime : le message à faire passer est qu’il s’agit de votre vie privée, et que le plus important est que vous soyez heureuse et en harmonie avec vos choix.
Gabriel Seyrig
Les filles à vos commentaires
lesbiennement
djédjé
djédjé- Age : 50
Localisation : Capesterre-B-E
Messages : 275
Membre depuis le : 06/07/2010
Re: Assumer l’homosexualité féminine
Coming out, quel drôle de mot, vouloir dire la vérité au grand jour !! Pourquoi faire ?
Se sont les moutons qui se font étiquetés les oreilles…
Je pense que lorsque l’on veut vivre une idylle avec une autre personne, qu’elle soit du même sexe ou du sexe opposé, on n’a pas de coming out à faire…
Si on à pas la conscience tranquille, parce que le dimanche matin à l’heure de la messe les commérages vont nous faire siffler les oreilles et que pour cette raison, notre idylle ne peut pas exister…
c’est que l’on n’aime pas assez fort la personne à nos cotés.
On est pas des stars, on n’a pas besoin de popularités, on est des femmes, et ce que l’on aime on doit le défendre sans se poser de question, alors va te coming aouté ailleurs…
Tu vie qu’une seule fois, et même si tu crois que tu vas te réincarner, et bien choisie bien ta première vie, car la deuxième tu ne la connais pas…
Ne vous mentez pas à vous-même, cela vous évitera de mentir aux autres (amis, famille, collègue, etc)
Ne vous transformez pas quand vous sortez, pas besoin d’être un camionneur pour être lesbienne, restez naturelle, féminine, élégante, aimé votre compagne autant que vous pourrez.
Il n’y a rien de facile dans la vie, ni de grandir, ni de vieillir, ni de bosser… alors, ne vous prenez pas la tête, battez-vous pour adopter un enfant, remuez-vous pour avoir des droits.
Ressemblez à des femmes, au lieu de vouloir ressembler à des « moutons »
Se sont les moutons qui se font étiquetés les oreilles…
Je pense que lorsque l’on veut vivre une idylle avec une autre personne, qu’elle soit du même sexe ou du sexe opposé, on n’a pas de coming out à faire…
Si on à pas la conscience tranquille, parce que le dimanche matin à l’heure de la messe les commérages vont nous faire siffler les oreilles et que pour cette raison, notre idylle ne peut pas exister…
c’est que l’on n’aime pas assez fort la personne à nos cotés.
On est pas des stars, on n’a pas besoin de popularités, on est des femmes, et ce que l’on aime on doit le défendre sans se poser de question, alors va te coming aouté ailleurs…
Tu vie qu’une seule fois, et même si tu crois que tu vas te réincarner, et bien choisie bien ta première vie, car la deuxième tu ne la connais pas…
Ne vous mentez pas à vous-même, cela vous évitera de mentir aux autres (amis, famille, collègue, etc)
Ne vous transformez pas quand vous sortez, pas besoin d’être un camionneur pour être lesbienne, restez naturelle, féminine, élégante, aimé votre compagne autant que vous pourrez.
Il n’y a rien de facile dans la vie, ni de grandir, ni de vieillir, ni de bosser… alors, ne vous prenez pas la tête, battez-vous pour adopter un enfant, remuez-vous pour avoir des droits.
Ressemblez à des femmes, au lieu de vouloir ressembler à des « moutons »
isafred972- Age : 63
Localisation : Martinique
Messages : 193
Membre depuis le : 13/07/2010
Emploi/Loisirs : Ingénieur en acoustique architecturale
Re: Assumer l’homosexualité féminine
Un coming out reste difficile en fonction de son vécu.
éducation Chrétienne stricte , Parents d'une classe sociale importante , dépendance d'un tiers , incompréhension des proches , etc .. Des situations les plus complexes les unes que les autres .
L'amour peut tout surmonter certe mais il lui faut parfois bcp de temps pour y parvenir.
Chaque coming out a sa situation il en sera plus facile pour certaine que pour d'autre ce n'est nullement à cela que l'on reconnais une vraie lesbienne ou pas encore moins de cette façon que l'on peut le démontrer ou même vouloir le prouver .
À toutes celles qui ont entamé ce combat,celui de ne plus vouloir vivre cacher je vous encourage femme lesbienne à aller de l'avant dans ce combat .
Peace
éducation Chrétienne stricte , Parents d'une classe sociale importante , dépendance d'un tiers , incompréhension des proches , etc .. Des situations les plus complexes les unes que les autres .
L'amour peut tout surmonter certe mais il lui faut parfois bcp de temps pour y parvenir.
Chaque coming out a sa situation il en sera plus facile pour certaine que pour d'autre ce n'est nullement à cela que l'on reconnais une vraie lesbienne ou pas encore moins de cette façon que l'on peut le démontrer ou même vouloir le prouver .
À toutes celles qui ont entamé ce combat,celui de ne plus vouloir vivre cacher je vous encourage femme lesbienne à aller de l'avant dans ce combat .
Peace
Tiflè- Age : 36
Localisation : Guadeloupe
Messages : 2
Membre depuis le : 13/02/2011
Re: Assumer l’homosexualité féminine
Bonjour,
Je suis nouvell, j'en profite donc pour faire un coucou à vous toutes avant de donner mon avis sur le sujet.
J'adhère totalement isafred972 à ces propos, mais je crois également que c' est une question de maturité de s'assumer. Maturité (cheminement, évolution) qu'on acquière on file du temps et au gré des rencontres pour finir par s'imposer comme une évidence.
Bises
Je suis nouvell, j'en profite donc pour faire un coucou à vous toutes avant de donner mon avis sur le sujet.
J'adhère totalement isafred972 à ces propos, mais je crois également que c' est une question de maturité de s'assumer. Maturité (cheminement, évolution) qu'on acquière on file du temps et au gré des rencontres pour finir par s'imposer comme une évidence.
Bises
isafred972 a écrit:Coming out, quel drôle de mot, vouloir dire la vérité au grand jour !! Pourquoi faire ?
Se sont les moutons qui se font étiquetés les oreilles…
Je pense que lorsque l’on veut vivre une idylle avec une autre personne, qu’elle soit du même sexe ou du sexe opposé, on n’a pas de coming out à faire…
Si on à pas la conscience tranquille, parce que le dimanche matin à l’heure de la messe les commérages vont nous faire siffler les oreilles et que pour cette raison, notre idylle ne peut pas exister…
c’est que l’on n’aime pas assez fort la personne à nos cotés.
On est pas des stars, on n’a pas besoin de popularités, on est des femmes, et ce que l’on aime on doit le défendre sans se poser de question, alors va te coming aouté ailleurs…
Tu vie qu’une seule fois, et même si tu crois que tu vas te réincarner, et bien choisie bien ta première vie, car la deuxième tu ne la connais pas…
Ne vous mentez pas à vous-même, cela vous évitera de mentir aux autres (amis, famille, collègue, etc)
Ne vous transformez pas quand vous sortez, pas besoin d’être un camionneur pour être lesbienne, restez naturelle, féminine, élégante, aimé votre compagne autant que vous pourrez.
Il n’y a rien de facile dans la vie, ni de grandir, ni de vieillir, ni de bosser… alors, ne vous prenez pas la tête, battez-vous pour adopter un enfant, remuez-vous pour avoir des droits.
Ressemblez à des femmes, au lieu de vouloir ressembler à des « moutons »
Fabi971- Age : 48
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Messages : 1
Membre depuis le : 15/07/2011
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